Le design de Zen3 est terminé depuis quelques mois. Comme Zen2, Milan devrait apporter un gain substantiel au niveau des instructions par cycle.
Si Intel rencontre de grosses difficultés avec ses processeurs pour PC de bureau, chez AMD en revanche, tout va pour le mieux. Fort du succès de ses processeurs Ryzen 3000 en architecture Zen2, qui a offert un joli gain de 15 % en matière d’IPC (instructions par cycle), l’entreprise compte bien réitérer une belle avancée avec Zen3.
Pour cette génération Zen3, également appelée Milan et prévue l’année prochaine, il serait question d’une augmentation de l’IPC d’au moins 10 % et des fréquences de 100 à 200 MHz.
Réponse dans quelques mois
Ces données proviennent de RedGamingTech, citant une “très bonne source”. On ignore si ces améliorations sont possibles grâce au processus 7 nm+ EUV de TSMC ou à une optimisation de l’architecture processeur. En parlant de celle-ci, on en a récemment eu quelques informations à son sujet. Il était notamment question de l’éventuelle fin des CCX grâce à un cache L3 unifié pour 8 cœurs. Quant à la rumeur évoquant quatre threads par cœur physique pour Zen3, cette caractéristique semble désormais écartée.
Enfin, notez qu’AMD a terminé le design de Zen3 depuis août dernier.
Red techgaming avant 8% au mieux, pas 10 pour l’IPC et L’IPC Augmente que par la main des Ingénieur, mais la freq par la gravure
Lemaitre y a quoi de compliqué à comprendre ici.
Redgamingtech eux-même en ont fait mention.
Ils ont eu une source parlant d’un gain IPC de 5-8% ET une autre source, le fameux zoo, dont ils disent qu’elle est très crédible lui fait mention d’un gain IPC de plus de 10%.
De + je crois pas que ces sources mélangent IPC et fréquences.
http://www.redgamingtech.com/zen-3-ipc-gains-are-greater-than-8-percent-exclusive/
Je te donne le lien mais je viens de voir qu’il était présent dans l’article ici donc vraiment je comprend pas ton incompréhension.
Par l’optimisation de l’architecture mais aussi plus simplement par le nombre de transistors, limité par le TDP qui dépend lui-même de la fréquence, du voltage et de la résistance et donc in fine aussi de la finesse de gravure.