Déballage
Avec un certain retard par rapport à ce que laissait espérer Free dans les pages de suivi de commande, les premières Freebox V6 commencent à parvenir aux abonnés. Curieux de savoir ce qu’elle cache dans ses entrailles, nous avons prévu de la démonter. En attendant, voici un premier aperçu du contenu des cartons et de ce que les box laissent entrevoir.
10 kg de box
Le premier changement que l’on constate est la taille du colis : l’emballage soigné pèse au total 9,8 kg.
Freebabouchka
A l’intérieur, trois boîtes : la Freebox Server, la Freebox Player et les FreePlugs. Manque le GamePad, qui sera livré gratuitement plus tard nous dit un petit mot de Free.
Le noir leur va si bien
Commençons par le plus petit carton, celui des Freeplugs. Pas de surprise ici, ces boîtiers combinés alimentation + adaptateur CPL paraissent identiques à ceux de la génération précédente. Les seules différences visibles sont leur couleur noire, une prise d’alimentation redessinée et leur référence : PL01C au lieu de PL01B.
La Freebox Server
Passons maintenant à la pièce principale : la Freebox Server.
Lisez la notice !
L’ouverture de la boîte révèle un agréable détail. La notice est dorénavant imprimée à même le carton de la boîte ce qui la rend à la fois imperdable et incontournable même par un utilisateur pressé.
Sur un air d’Apple
Sous une épaisseur de mousse aux couleurs de Free se cache le boitier Server. Cet emballage est vraiment très propre et n’est pas sans rappeler une boîte de MacBook ou MacBook Pro Apple. On l’avait vu lors de la conférence de presse, Xavier Niel semble vouloir copier les recettes du succès de M. Jobs.
Cachez ce port USB
Le boitier Server a été vu et revu depuis son lancement. Son esthétique réussie et son excellente finition sont à des années lumières de la Freebox V5. On regrette d’autant plus le branchement bricolé du port USB présent en façade de la box : il est relié par un bête câble externe à l’un des ports USB arrière. Cette bizarrerie lui permet certes d’être connecté au pied pivotant dessiné par Starck, mais ce pied étant une option payante, nous craignons que bien peu de freenautes l’utilisent.
It’s a trappe !
L’arrière du boîtier Server cache un secret : à côté des ports d’extension une trappe cache un logement de la taille d’un disque dur 3,5″ environ. On devine au fond de ce logement un connecteur PCI-Express et un ventilateur. La destinée de cet emplacement n’a pas été expliquée par Free. Il pourrait accueillir par exemple un module femtocell lorsque Free déploiera son réseau cellulaire.
Freebox player : HDMI inclus
Dernière boîte du carton : celle du Freebox Player. Quasiment identique à celle du Server, elle contient le boîtier multimédia, sa télécommande, un câble péritel et un câble HDMI.
Ça dépasse encore
Comme le Server, le Player possède un port USB en façade branché à la hussarde sur un de ces ports arrières. Le câble est ici encore plus long. Un détail certes, mais qui choque par rapport au reste de la finition du boîtier.
Rendez-nous l’antenne !
Le Player ne possède pas de logement secret comme le Server. Sa connectique est complète même si on ne voit qu’une seule prise d’antenne. Il sera du coup impossible d’utiliser le tuner TNT d’un téléviseur en plus de celui de la Freebox. C’est une régression par rapport au boitier HD de la Freebox V5 qui offre une sortie d’antenne.