Pour Arrow Lake, la valeur PL1 pour les modèles K resterait de 125 W, mais les PL2 et PL4 baisseraient de respectivement 76 W et 87 W par rapport à celles du Core i9-13900K. Des gains rendus possibles grâce à la gravure Intel 20A ?
Les dernières générations de Core d’Intel ne faisaient pas de la frugalité énergétique leur cheval de bataille, au contraire (certainement pour rester compétitifs face aux Ryzen AMD en dépit d’un nœud de gravure moins perfectionné). La donne devrait toutefois changer pour les prochaines générations, y compris de Core desktop. En effet, Meteor Lake met déjà l’accent sur l’efficacité énergétique, mais cette gamme restera cantonnée au segment laptop (les Meteor Lake desktop évoqués par Intel n’étaient qu’une allusion à des AIO et autres mini-PC équipés de puces mobiles). Les caractéristiques officielles de Raptor Lake Refresh ne sont pas encore connues, mais a priori, avec des hausses de fréquences de 200 MHz pour une architecture inchangée, il ne faut pas tabler sur des consommations en baisse, au contraire.
Toutefois, Arrow Lake, la 15e génération de Core qui marquera l’arrivée du socket LGA-1851, fixerait des limites de puissance bien plus restrictives qu’actuellement.
Des limites de puissance abaissées pour Arrow Lake ?
À en croire des informations partagées par un certain DarkmontTech, Arrow Lake conservera le même PBP (Processor Base Power), alias le PL1, mais changera les valeurs PL2 et PL4. Pour les puces K, il est toujours question d’un PBP de 125 W. Seulement le PL2 serait fixé à 177 W, soit 30 % de moins que les 253 W du Core i9-13900K ; quant au PL4, il passerait à 333 W, soit une baisse de 20,6 % par rapport au 420 W du processeur susmentionné.
Ces limites de puissance pourraient être spécifiques aux premiers échantillons de développement, restons donc prudents.
De fait, ces Core de 15e génération sont censés avoir une tuile de calcul gravée grâce au nœud Intel 20A, soit du 2 nm. Les Meteor Lake profitent de l’Intel 4 (7 nm EUV), tandis que les Raptor Lake sont gravés via l’Intel 7, soit du 10 nm ESF. Forcément, passer du 10 nm au 2 nm devrait se matérialiser par une efficacité énergétique en forte hausse, et donc permettre de réajuster les limites de puissance.
Enfin, pour le segment mobile, Lunar Lake mettra encore plus l’accent sur l’efficacité énergétique.
Ces derniers temps, Intel passe (à mon goût) beaucoup trop de temps a communiquer et pas asser à nous proposer du concret et à respecter ses propres promesses de sortie (et de planning)
On devait avoir une nouvelle architecture avec la 14th Gen et au lieu de ça on a le droit à un “difficilement justifiable”, Raptor Lake Refresh qui va nous offrir un changement inexistant en dehors de ses 200Mhz de plus par cœur.
Et un contrôleur mémoire un peu plus performant qui fera qu’ils accepteront de la DDR5 un peu plus rapide.
Si ce n’est que la fréquence supportée officiellement elle ne va pas changer (ou de manière infime) et que contrairement à AMD, augmenter tjrs un peu plus la vitesse de la RAM n’apporte pas de gain majeur, ils sont même quasi inexistant.
J’étais retourné chez AMD depuis un premier Ryzen 3 1300x, puis 2600x et enfin 5600x que j’ai changé en février pour un 13600k, dans le but de conserver mes 32Go de DDR4 4200 C16 (OC @4000 C14). ‘étais déjà convaincu que je repasserais chez AMD des que je changerai ce Core I5, les annonces quotidienne d’Intel depuis des mois ne font que me conforter dans cett444r