Une configuration PC gaming complète s’accompagne nécessairement d’un clavier performant. Quel que soit votre critère de sélection (largeur du clavier, contacteurs silencieux ou modèle mécaniques), notre guide vous guidera pour que vous puissiez faire le meilleur choix.
- Notre top 3 des meilleurs claviers gamers
- The G-Lab Keyz Palladium, le clavier membranes à petit prix
- The G-Lab Keyz Carbon E, le clavier mécanique abordable
- Corsair K65 Pro Mini, le plus compact
- Cherry KW X ULP Wireless, le plus fin des claviers gaming
- Razer DeathStalker V2 Pro, le plus précis
- Mountain Everest Max, le clavier modulaire
- 🤔 Quels sont les différents type de clavier ?
- 📏 Quelle taille de clavier gaming choisir ?
- ⚙️ Macros, anti-ghosting et n-key rollover : quelles sont les fonctionnalités importantes ?
- 💡 Qu’en est-il du rétroéclairage ?
- 👉 Nos autres guides gaming
Notre top 3 des meilleurs claviers gamers
The G-Lab Keyz Palladium
- Format pleine taille pour plus de confort
- Discrétion des contacteurs à membrane
- Confort de frappe au rendez-vous
Razer DeathStalker V2 Pro
- Excellent niveau de finition, digne de Razer
- Large personnalisation via Razer Synapse
- Contacteurs low-profile, réactifs et précis
Corsair K65 Pro Mini
- Format ultra compact au design très épuré, une réussite
- Frappe globalement très discrète, très bonne insonorisation
- Câble USB-C de qualité, détachable
Essentiel pour l’utilisation d’un ordinateur, le clavier est depuis des décennies un allié incontournable des gamers. Il accompagne la souris, l’écran ou encore le casque. Les fabricants de claviers ont, depuis longtemps, perçu le potentiel de ce périphérique, aussi bien en termes de performances que d’esthétique, et ont fait du gamer leur cible privilégiée. Si bien que chaque année, de nombreux modèles voient le jour, rendant le choix parfois particulièrement difficile.
Sélectionner le bon clavier gaming nécessite en effet de naviguer parmi de nombreuses options. Et il est crucial de les examiner, qu’il s’agisse du format, de la technologie intégrée par le fabricant ou des caractéristiques spécifiques des switchs. Préférez-vous un clavier pleine largeur ou un modèle compact, tenkeyless ? Cherchez-vous des contacteurs silencieux ou la réactivité des modèles mécaniques, plus bruyants ? Le prix est également une variable importante, car les tarifs peuvent varier considérablement. Pour vous aider, découvrez notre sélection des meilleurs claviers gaming pour 2024.
À lire également : notre comparatif des meilleures souris gaming
The G-Lab Keyz Palladium, le clavier membranes à petit prix
- Format pleine taille pour plus de confort
- Discrétion des contacteurs à membrane
- Confort de frappe au rendez-vous
- Rétroéclairage plutôt réussi, 12 touches de macro
- Le repose poignets
- Contacteurs à membranes moins réactifs
- Couleur du rétroéclairage figée par touche
- Encombrement relativement important
Le Keyz Palladium de G-Lab est un modèle assez comparable au Xpert-K300 de Spirit of Gamer. En fonction des revendeurs et des vagues de promotion, il peut être sensiblement moins chers ou un petit peu plus coûteux. Il conserve surtout un format plus classique que certains trouveront plus rassurant sur le bureau. Il dispose également d’un véritable repose-poignets pour une saisie, sur la durée, autrement plus confortable.
En revanche, il nous faut reconnaître une sensibilité moins élevée du côté des contacteurs qui adoptent la technologie à membranes. Ce n’est d’ailleurs pas forcément un mal : question de goûts en somme. Le système de rétroéclairage dispose de davantage d’effets, mais les couleurs restent figées à chaque touche. Bien sûr, le passage aux contacteurs à membrane fait que l’on bascule dans un autre monde qui aura ses amateurs autant que ses détracteurs.
L’intérêt principal de la technologie est évidemment le grand silence de fonctionnement, mais le défaut est une réactivité moindre. G-Lab compense toutefois ce qui pourrait être un défaut pour les jeux les plus nerveux par la présence de 12 touches réservées aux macros, une fonction souvent associée à des modèles bien plus onéreux.
The G-Lab Keyz Carbon E, le clavier mécanique abordable
- De vrais contacteurs mécaniques à moins de 50 euros
- Réactivité et précision des contacteurs
- Petites fonctionnalités jeu vidéo bien pratiques
- The G-Lab fournit le repose-poignets
- Pas le choix des contacteurs
- Repose-poignets trop dur
- Loin d’être le plus discret
Coup double pour The G-Lab qui truste véritablement les premières places en termes de coût avec des modèles plus que convenables à tout petit prix. Le Carbon E n’est évidemment pas le meilleur des claviers sur le marché, mais – selon les arrivages – à plus ou moins 40-45 euros, il sera difficile de trouver un véritable clavier mécanique avec un meilleur rapport qualité/prix.
Pour le prix, on ne se montrera d’ailleurs pas trop dur sur le fait que The G-Lab ne nous laisse pas le choix des contacteurs. Il s’agit de modèles blue qui se distinguent donc par le cliquetis assez sonore à chaque activation. En revanche, pas grand-chose à redire sur la réactivité et la précision. C’est très correct compte tenu du tarif demandé. La saisie peut se faire à grande vitesse sans réelle crainte d’erreurs. Un repose-poignets est d’ailleurs livré dans la boîte.
Nous aurions préféré un modèle rembourré plutôt qu’en plastique dur, mais là encore, il ne faut pas trop en demander. Pour le jeu vidéo, The G-Lab a pensé à la stabilité du clavier – il fait 1,1 kilogramme – et propose quelques fonctionnalités sympathiques comme le verrouillage de la touche Windows ou l’inversion des touches WQSD/touches fléchées. Enfin, le rétroéclairage est correct, mais attention, il n’est pas RVB.
Corsair K65 Pro Mini, le plus compact
- Format ultra compact au design très épuré, une réussite
- Frappe globalement très discrète, très bonne insonorisation
- Câble USB-C de qualité, détachable
- Rétroéclairage proche de la perfection
- Finitions de haut niveau, touches PBT
- N-Key rollover et anti-ghosting intégral
- Très épais pour un compact, pas de repose-poignets
- Le prix forcément, même s’il est sans doute justifié
Un chouia moins compact que le K65 Mini, le K65 Pro Mini que nous retenons pour cette sélection est aussi plus confortable à l’usage. Surtout lorsque l’on n’est pas encore habitué à ces (tout) petits claviers. Il s’agit d’un modèle 65% qui représente donc 65% de la longueur d’un clavier standard. Petit par la taille, mais grand par la qualité.
Corsair n’a pas lésiné sur le design ou les finitions d’un modèle qui assure d’abord par ses matériaux. La structure en aluminium et les touches en PBT constituent des gages de qualité autant que de longévité. Aucun risque par exemple que le lettrage s’efface en quelques mois. Sur un plan davantage technique, nous avons droit à des contacteurs Corsair OPX. Ce sont des « opto-mécaniques » avec activation via la coupure d’un signal optique. Cela se fait de manière totalement silencieuse, même s’il faut compter avec le (léger) bruit de la touche qui cogne sur la plaque stabilisatrice sur laquelle repose les contacteurs.
Les Corsair OPX sont des « linéaires rapides », ils offrent une frappe alerte et précise. Aucun problème de retour pour les touches et Corsair intègre ce qu’il faut de technologies gaming (n-key rollover et anti-ghosting). En dehors de la hauteur des touches/contacteurs et de l’absence de repose-poignets, on ne peut pas reprocher grand-chose à Corsair. Un modèle remarquable.
Cherry KW X ULP Wireless, le plus fin des claviers gaming
- Excellent niveau de finition, conception sobre et efficace
- Clavier d’une finesse stupéfiante et léger avec ça
- Triple connexion filaire, sans-fil 2,4 GHz et Bluetooth
- Contacteurs MX Ultra Low Profile aussi précis que réactifs
- Excellente autonomie en mode sans-fil
- Beaucoup, mais alors beaucoup trop cher
- L’absence de RVB pour le rétroéclairage peut décevoir
- Pas de port USB pass-through
Au premier coup d’œil posé sur le KW X ULP Wireless – on ne remercie pas Cherry pour cette dénomination à coucher dehors – difficile de ne pas être impressionné par sa finesse. On se prend même à douter sérieusement qu’il s’agisse d’un clavier mécanique. Pour atteindre une si faible épaisseur, Cherry s’est inspiré des contacteurs à ciseau des portables, mais il s’agit bien de dérivés des fameux Cherry MX.
Les MX Ultra Low Profile permettent à Cherry d’aboutir à une épaisseur de seulement 16 millimètres pour son clavier dont le poids est d’ailleurs à l’avenant avec 630 grammes. Un tel produit est extrêmement agréable à manipuler d’autant qu’il bénéficie d’une triple connexion : filaire, sans-fil 2,4 GHz et Bluetooth. Autant dire que la liberté est le maître-mot de ce clavier qui ne dispose d’aucun repose-poignets et dont les pieds ne permettent d’augmenter l’inclinaison que sur un niveau.
En même temps, il n’y a pas besoin de plus ! Côté frappe, on peut être décontenancé par la finesse des touches, mais après quelques minutes d’adaptation, les doigts dansent avec plaisir sur le clavier. On frappe vite, précisément et dans le plus grand confort. Le rétro-éclairage est limité au seul blanc, mais cela sied plutôt bien au style d’un clavier auquel on ne reprochera finalement qu’une seule chose : un tarif prohibitif.
Razer DeathStalker V2 Pro, le plus précis
- Excellent niveau de finition, digne de Razer
- Large personnalisation via Razer Synapse
- Contacteurs low-profile, réactifs et précis
- La fonction secondaire des touches n’est pas rétroéclairée
- Tarification élevée
Arrivé l’année dernière sur le marché, le DeathStalker V2 Pro de Razer se présente comme un modèle ultra-mince, utilisable avec ou sans fil (via un dongle USB ou bien via une connexion Bluetooth standard). Il est équipé de contacteurs optiques ultraplats très sensibles, avec une course de 1,2 ou 1,5 mm selon les versions (linéaires ou sonores) et une force d’activation de 45 grammes. Attention donc, cette faible course ne plaira pas à tout le monde.
Comme tout produit gaming qui se respecte, le DeathStalker V2 Pro bénéficie bien sur d’un rétro-éclairage RGB qu’il sera possible de personnaliser via l’application Synapse. Bien pensé et bien conçu, ce clavier est affiché à un tarif encore assez élevé, en partie justifié par ses fonctionnalités. Son confort d’utilisation reste néanmoins un cran en dessous celui du Cherry KW X ULP Wireless, mais il conviendra aux usagers peu friands des touches plates, à la hauteur très faible.
Mountain Everest Max, le clavier modulaire
- La modularité extrême
- Les finitions remarquables
- Qualité et grand choix de contacteurs
- Touches en ABS ou PBT au choix de l’utilisateur
- Dock multimédia et pavé numérique amovibles
- Port USB passthrough via un seul câble
- Repose-poignets confortable
- La tarification particulièrement élevée
- Rétroéclairage qui pourrait être plus personnalisable
- Keycaps en ABS qui ne devraient même pas être proposées
- Protection plastique des zones d’affichage
Une fois n’est pas coutume, nous sélectionnons un clavier qui n’est pas issu d’un « grand constructeur ». La société Mountain est même passé par un financement participatif sur Kickstarter afin de valider son projet… et quel projet. C’est bien simple, l’Everest Max est le clavier haut de gamme modulaire le plus personnalisable qui ait jamais été distribué.
Mécanique, il dispose d’excellents contacteurs pour une réactivité de premier plan. Il s’agit comme souvent des fameux Cherry MX pour lesquels on peut choisir entre Brown, Red, Blue, Speed Silver et Silent Red. L’intérêt est bien sûr de pouvoir opter pour des switchs plutôt silencieux ou les modèles les plus réactifs du marché. Plus fort encore, Mountain autorise le choix entre des keycaps en ABS pour un coût moindre ou en PBT pour augmenter la longévité des touches.
Reste que l’atout majeur de ce produit est l’incroyable modularité qui autorise le positionnement de multiples modules un peu où l’on veut. Des pieds amovibles aimantés viennent surélever la bête, un pavé numérique peut être placé à gauche / à droite ou même retiré et il en va de même pour le dock multimédia. Bien sûr, le repose-poignets, amovible, est de la partie et tous les accessoires pour changer les contacteurs sont livrés. Forcément, un tel niveau de personnalisation a un coût, mais on voit tout de suite le pourquoi de cette (un peu) folle dépense. Une réussite.
🤔 Quels sont les différents type de clavier ?
On peut schématiquement partager l’univers du clavier pour joueurs en deux écoles. D’un côté, les adeptes du périphérique à membranes et de l’autre, ceux des modèles dits mécaniques. Ces derniers sont et de très loin les plus nombreux. Ils expliquent leur choix par la plus grande réactivité de ces contacteurs et par un ressenti plus “physique” au moment de la frappe.
Les claviers à membranes
De leur côté, les claviers à membranes ont pour eux des nuisances sonores bien plus faibles, pour ne pas dire nulles. Avec les progrès des deux technologies, la séparation n’est cependant plus aussi nette. Les claviers à membrane ont pas mal progressé côté réactivité, mais nous notons surtout de nettes améliorations sur le bruit des mécaniques avec des modèles beaucoup plus discrets. Une dernière chose tout de même qui pourrait faire pencher la balance : les modèles à membranes sont souvent nettement moins chers que les mécaniques.
Les claviers mécaniques
Du côté des claviers mécaniques, les spécialistes ont leurs préférences. Il existe de nombreuses marques d’interrupteurs, qui se déclinent en de multiples modèles. Chacun d’entre eux présente une distance d’activation, une force d’activation (45g à 120g !), et un ressenti différents, tout en dégageant des bruits parfois radicalement opposés. La marque la plus répandue, Cherry, propose plus de 12 switchs différents (pas tous disponible dans nos régions). Certains seront de type linéaires (rouge et noir), d’autres dit tactiles sans clic (marrons et blanc), et tactiles avec clic (vert et bleu). Ensuite, certains auront besoin de 45g pour activer la touche (rouge) alors que d’autres auront besoin de 60g (noir).
En France, les plus répandus sont le marron (tactile sans clic 45g), le rouge (linéaire 45g), le bleu (tactile avec clic, 50g) et le noir (linéaire 60g). La plupart se décline également en une variante silencieuse. D’autre marques existent, et certains constructeurs proposent leurs propres interrupteurs, parfois sans s’étendre sur leurs caractéristiques exactes. Il est donc évidemment compliqué de se représenter la différence sans tester, mais peut-être vaudra-t-il mieux éviter des switchs exigeant une pression de 60g et plus si vous faites du traitement de texte par exemple, pour éviter de la fatigue au niveau des doigts.
📏 Quelle taille de clavier gaming choisir ?
L’autre question primordiale que l’on doit se poser au moment d’acheter c’est : quel encombrement s’autorise-t-on ? Il existe effectivement plusieurs formats depuis le “pleine largeur” et ses 105/109 touches jusqu’aux produits les plus compacts, d’à peine 20 centimètres de large, et pas du tout adaptés aux jeux vidéo. Afin que la souris soit plus proche du clavier et que l’on ait moins à écarter les bras, les modèles TKL – ou tenkeyless – se sont généralisés.
Ils sont également plus pratiques dans la mesure où leur volume et leur poids en font des accessoires aisément transportables. En revanche, il faut alors faire une croix sur le pavé numérique. Si c’est encore trop gros, des modèles 60%/75% à destination des joueurs sont apparus. Ils sont encore peu nombreux, mais moins rares qu’autrefois et nous en avons d’ailleurs retenu un dans notre sélection.
⚙️ Macros, anti-ghosting et n-key rollover : quelles sont les fonctionnalités importantes ?
Que de termes barbares pour qui n’est pas un habitué du monde du gaming ! Derrière chacun d’eux se cache en réalité une fonctionnalité à ne pas négliger au moment de faire votre choix. Le principe des macros est très simple : généralement via un logiciel, vous choisissez une série de touches ou une combinaison qui sera ensuite affectée à une touche en particulier. Il suffira ensuite de presser ladite touche pour que la combinaison s’exécute toute seule. C’est vrai, certains assimilent cela à de la triche, mais c’est aussi diablement confortable ! Notez que quelques claviers intègrent des touches spécifiquement dédiées aux macros.
Ils constituent deux fonctionnalités relativement proches dans la mesure où elles concernent l’aptitude du clavier à bien répondre aux sollicitations des joueurs. L’anti-ghosting est là pour éviter un défaut technique d’anciens claviers qui utilisaient des grilles peu évoluées pour gérer les touches. De fait, on se retrouvait parfois à activer une touche sans l’avoir pressée. Aujourd’hui, tous les claviers un tant soit peu modernes en sont équipés. Pour le n-key rollover c’est un peu différent. Il s’agit de pouvoir appuyer sur plusieurs touches à la fois sans que le clavier se bloque. Un n-key rollover le permet sur toutes les touches en même temps. Alors qu’un 6-key rollover est une limite fréquente qui se contente des touches les plus usitées.
Vous vous en doutez, il existe quantités d’autres choses que l’on peut vouloir vérifier avant d’acheter un clavier. Et sans prétendre à l’exhaustivité, nous allons dresser maintenant une liste de ce qui nous semble intéressant sur un modèle gaming. Tout en gardant à l’esprit qu’il pourrait être amené à faire pas mal de saisie également.
Ainsi, nous avons un petit faible pour les modèles doté d’un port USB passthrough. Il s’agit simplement de proposer un port USB sur le clavier afin d’autoriser le branchement d’une clé USB, voire d’une souris. Ce n’est évidemment pas indispensable. Mais cela se révèle très pratique à l’usage et quand on y a goûté, il est difficile de s’en passer.
💡 Qu’en est-il du rétroéclairage ?
Il est peut-être encore plus important ou, plutôt, en plus difficile à oublier quand on en a fait l’expérience. Hélas, à ce niveau, il est très difficile de donner des conseils. Nous vous suggérons toutefois de privilégier les modèles RGB plutôt que ceux avec une couleur fixe. À moins d’avoir été en mesure de tester ladite couleur. Certains claviers ne possèdent effectivement que du bleu ou du rouge par exemple. Notez également que les options de personnalisation du rétroéclairage sont souvent liées à la qualité du logiciel conçu par le fabricant du clavier.
Peut-être un peu moins à la mode qu’il y a quelques années, les claviers gaming sans-fil existent cependant toujours. Ils doivent logiquement intégrer une batterie dont il faudra évidemment vérifier la capacité. Pour ne pas se retrouver à cours au plus mauvais moment. Notons que dans le cas d’une utilisation gaming, un modèle sur batterie pourra avantageusement trouver sa place dans le salon. Loin de l’unité centrale. Notons aussi qu’un modèle sans-fil simplifie évidemment la transportabilité du produit et qu’il peut même disposer d’une connectique Bluetooth. L’intérêt est alors de pouvoir l’utiliser sur une plus large palette de machine. Comme un PC de bureau, un portable voire une tablette.