Revenu d’entre les morts, Mad Catz se relance avec la R.A.T. 8+, une souris haut de gamme qui a fait ses preuves.
La Mad Catz R.A.T. 8+ est un périphérique riche de nombreuses fonctionnalités, qui se perd parfois un petit peu dans ses gadgets, mais ne manque jamais d’assurer l’essentiel.
- Design très recherché
- Modularité remarquable
- Excellente ergonomie
- Précision redoutable du capteur
- Bouton « sniper »
- Jolie intégration du rétroéclairage
- Seconde molette bien pratique
- Poids ajustable
- Pas moins de 11 boutons programmables
- Exclusivement pour droitiers
- 16000 dpi pour quoi faire ?
- Ergonomie imparfaite du logiciel
- Plus que 3 petits poids (5 sur la R.A.T. 8)
- Certains réglages un peu gadgets
- Molette non-débrayable
Lancée il y a plus de deux ans avant que Mad Catz ne soit contraint de mettre la clé sous la porte, la R.A.T. 8 nous revient donc aujourd’hui à la faveur de la résurrection de son constructeur. Elle est maintenant affublée d’un petit « + » dont on cherche encore la signification. À moins que notre mémoire nous joue des tours, la souris est effectivement identique à son ancêtre… si ce n’est le retrait de deux des cinq petits poids permettant de lester la souris. Pour le « + », on repassera ! En revanche, rien à redire sur les qualités intrinsèques de ce très bon modèle. Son design agressif pourrait refroidir certains joueurs, mais saluons malgré tout l’effort de conception. La finition est remarquable et l’ergonomie exemplaire, pour les droitiers. Ces derniers bénéficient de multiples options de paramétrages afin d’ajuster la forme du repose-pouce, du repose-paume et du repose-auriculaire. On peut également ajuste la position de certains éléments à l’aide d’un clé qui se range directement dans le corps de la souris. Quatre profils peuvent être enregistrés et rappelés d’un simple bouton accessible avec l’index alors que le pouce profite d’un bouton « sniper » et d’une seconde molette pour le volume par exemple. Dommage que la roulette principale ne soit pas débrayable. Elle reste toutefois aussi précise que le capteur optique 16000 dpi. Des petits poids – seulement trois donc – permettent d’alourdir la souris, mais ils nous paraissent inutiles vu que la R.A.T. 8+ est déjà à 145 grammes sans eux. Agréable, bien finie et très précise, la R.A.T. 8+ souffre tout de même des limitations de son logiciel : puissant, il pêche côté ergonomie, mais des mises à jour restent possibles.
Lire le testForme | Pour droitier |
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Connexion | Filaire |
Interface | USB 2.0 |
Capteur | Optique |
Résolution maximale | 16000 dpi, ajustable |
Taux de rapports USB | 1000 Hz |
Nombre de boutons | 11, tous programmables |
Molette | Oui, simple |
Rétro-éclairage | Oui, RGB |
Câble | 1,8 m |
Dimensions | 118x87x38 mm |
Poids | 145-163 g |
Si le clic gauche crève toujours après deux ans elle n’en vaudras toujours pas son prix
Si tu tombe sur un modele défecteux c’est pas de leur faute
Plus de logitech ou de razer pour moi qui tombe en panne tout les mois
j’ai ma razer mamba 2012 qui fonctionne comme au premier jour et pourtant je lui en met dans la gueule depuis le temps
C’est clair, si ça serait le cas. Heureusement c’est pas vrai, j’avais la rat 3 et la j’ai toujours une rat 5 qui marche toujours très bien.
Idem 😉
Super souris, les poids supplémentaires sont utiles, ma RAT 8 porte les 5… Ca a bien des avantages dans certains cas une souris lourde en terme de stabilité.
A noter que les clics sont des Omron 50M donc fiables autant que sur les souris concurrentes…